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 butterbeer and cie (hannah x ruben=

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DOME+
Niwie en Or et Femme de BATMAN
Niwie en Or et Femme de BATMAN
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Messages : 831
Date d'inscription : 26/10/2009

MessageSujet: butterbeer and cie (hannah x ruben=   butterbeer and cie (hannah x ruben= Icon_minitimeVen 12 Juil - 0:53

Ruben Haywood a écrit:


butterbeer and you
hannah x ruben
C'est l'éclat de son rire qui te confirme que tu as bien fait d'user d'audace afin de l'inviter à passer un bon moment, il t'éclabousse d'une joie et satisfaction peu communes et laisse sur ton sourire cette impression ravie que tu ne sais plus dissimuler. Tu avais osé, Ruben, parce qu'après tout aujourd'hui tu n'avais plus rien à perdre et tout à gagner à ses côtés. Un bon moment partagé entre deux amis de longue date, tu te souviens même de votre première rencontre élue grâce à Bob qui, il fallait dire, manquait à Poudlard depuis son départ. T'avais cette hâte tous les étés de le revoir pour une partie de quidditch dans le jardin familial des Haywood ou des Abbot, une tradition désormais entre vous où de plus en plus de vos amis participaient. C'était un bon moment partagé, loin des bassesses pouvant être vues sur le terrain entre deux équipes au caractère chevronné, tu attendais ce moment avec impatience et engouement certain, non seulement pour retrouver ton vieil ami mais te réjouir avec vos proches. Moment apprécié également aux côtés de la blonde hésitante face à ton regard alors que tu grimpais sur ton balais et lui présentais une place, tu attendis sa réponse qui ne mit pas vraiment longtemps à te parvenir. Son rire comme une douce mélodie à tes oreilles retentit et agrandit l'arabesque satisfaite dessinant tes lippes. « Depuis quand est-ce que je refuse une bière, hm ? » tu opines, entièrement d'accord avec l'étudiante dont sa passion pour la boisson la plus appréciée des Trois Balais t'étais connu et tu te laissas approcher par elle. Sa main vint se caler sur ton épaule tandis que ton visage se tournait au dessus de celle à  ta gauche afin de t'assurer qu'elle soit bien installée. L'adrénaline toujours survoltée au sein de tes veines, tu attends patiemment qu'elle s'installe, ressentant le moindre contact physique qu'elle déploie sur tes protections. Un pied déjà relevé et l'autre au sol dans l'attente de décoller, tu l'écoutes. « Surprends-moi. » l'un de tes sourcils se relève d'amusement et de curiosité tandis que tu acquiesces encore une fois, ajoutant seulement un « dans ce cas, accrochez-vous bien mademoiselle Abbot. » cérémonieux. Ton pied frappe le sol quelques secondes après qu'elle ne l'eut fait et vous vous élevez aussitôt dans une projection avant commune à tout départ en balai. Une main leste près de ta cuisse et l'autre fidèle accrochée au bois, tu fis avancer la monture sur un chemin de terre parallèle à celui communément emprunté par les élèves de retour au château. Dans l'espoir de ne pas croiser le regard courroucé d'un professeur ou celui agacé d'un préfet, tu prends la liberté de voler plus loin dans le parc, tout simplement en direction du lac. L'eau calme scintille un peu sous les rayons de l'helios élevé, mesurant un sourire apaisé sur tes lèvres au fur et à mesure de votre avancée. Le paysage spectaculaire de Poudlard te manquerait d'ici quelques mois, tu le savais et aujourd'hui, tu étais tout simplement ravi de partager ce moment avec elle. Ton regard se tourna au dessus de ton épaule afin de capturer le sien un moment. « tu voulais que je te surprenne ? agrippe toi bien.. » lui recommandes-tu d'une expression maline. Tu attendis de ressentir ses bras se raffermir autour de ton corps pour tirer le balai vers le haut le temps de quelques instants avant de lui offrir un looping non loin du lac. La tête en bas et soudainement le balai au dessus de l'eau de la grande étendue d'eau, tu lâches spontanément un rire alors que toute la tension qui t'habitait suite au match commençait enfin à se relâcher. Tu fis en sorte de voler près de l'eau afin de pouvoir faire glisser tes doigts sur la surface, l'invitant à t’imiter d'un regard.
Lorsqu'enfin vous mettez pied à terre, vous n'êtes pas très loin du hall d'entrée menant aux cachots et tu relâches un soupire d'aise avant de tenter de discipliner ta chevelure. T'as ce sourire de bel idiot qui s'illustre, une expression satisfaite et apaisée alors que tu balances ton balai sur le haut de ton épaule en entamant désormais la marche à ses côtés en direction des cuisines. « alors, tu as aimé ? » un rapide clin d’œil et voici ton regard qui s'élève au loin en remarquant la distance que vous aviez pris sur tout le monde grâce au balai. Vous étiez pratiquement seuls en entrant dans le château, ses pierres gardant la fraîcheur en contraste avec la chaleur qui pesait sur l'atmosphère dehors, t'étais bien, tout simplement bien et surtout, en bonne compagnie.

(c) DΛNDELION
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Niwie en Or et Femme de BATMAN
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MessageSujet: Re: butterbeer and cie (hannah x ruben=   butterbeer and cie (hannah x ruben= Icon_minitimeVen 12 Juil - 0:54

Hannah Abbot a écrit:


But if we're strong enough, to let it in,

We strong enough, to let it go (thème musical)

« Dans ce cas, accrochez-vous bien mademoiselle Abbot. »
Ruben donne une impulsion du pieds, du même acabit que ce que tu viens de faire, à la différence près que la puissance qu'il injecte dans son balai n'a rien à envier à la puissance de tes cuisses fines et moins noueuses. Le geste, rodé par une pratique quotidienne du quidditch, est pourtant en tout point le même que le tien, ce qui te fait constater sur l'instant à quel point la puissance renfermée dans un corps peut véritablement changer la donne - le quidditch restant un sport, bien que sorcier et quelque peu, magique. Tes bras passés autour de sa taille, ton regard détailla un instant ses omoplates larges et dont les muscles sculptés étaient clairement visibles à travers les vêtements. Parce si un joueur de quidditch se doit d'avoir de bonnes jambes, notamment pour gérer les départs et atterrissages de ses vol ; un batteur se doit d'avoir un bon smash. Vous prenez rapidement de la vitesse, si bien que tes cheveux lâchés viennent battre tes tempes au fil des mouvements et inductions qu'impose Ruben. Tu aimes cet instant, simplement là à des pieds au dessus du sol, sentant sur ton épiderme délicat les bourrasques vivifiantes de ce début de soirée, se mêlant à la chaleur du corps contre lequel tu te presses un peu plus en espérant timidement que le virage serré qu'entreprend Ruben suffira à couvrir ton geste. Il y a, chez lui, quelque chose de rassurant. Ça te rappelle ces soirs d'été durant lesquels ton père t'emmenais faire des pirouettes dans le jardin grâce à son balai qu'il avait conservé de ses années à Poudlard. Un vieux machin, qui malgré les années, réussissait encore la prouesse de vous porter tous les deux pour quelques tours acrobatiques qui t'arrachaient chaque fois de grandes exclamations joyeuses, bien souvent étouffées par les récriminations inquiètes de ta mère restée à observer ce petit manège depuis la terrasse familiale. Il n'y aurait pas eut de meilleure façon de te faire aimer le vol à balai. Mais ton père était malin, il savait que s'il marquait ces points, il réussirait à se trouver une acolyte pour l'accompagner à toutes les coupes du monde de quidditch, contrairement à ta mère qui rechignait toujours à se laisser traîner à ce genre d'événement... Et ce fut réussit avec brio ; vous n'aviez pas raté une compétition officielle depuis ce jour-là, passé à faire des pirouettes dans le jardin. Puis lorsque ton père décréta qu'il se faisait trop vieux pour ces idioties, Bob se dévoua bien volontiers pour prendre la relève, ne perdant jamais une occasion de t'emmener pour un petit tour. Ne serait-ce que pour te dérider, ou te changer les idées. Membre de l'équipe de quidditch des gryffondor, du temps où il étudiait encore à Poudlard, cela faisait un paquet d'années que l'aîné Abbot avait prouvé son courage à dos de balai ; et surtout son mérite. Mais il avait fallut qu'il choisisse un métier qui l'oblige à beaucoup s'absenter pour se rendre à l'étranger, t'empêchant ainsi de pouvoir profiter à nouveau de vos petites escapades périlleuses. Alors te retrouver là avec Ruben aujourd'hui, c'était un peu comme goûter à nouveau à tout ça. Mais tu n'aurais jamais osé le lui dire, ni même le remercier, de peur de passer pour une gamine sentimentale et immature. Pourtant les sentiments étaient là, ta reconnaissance aussi, et tu espères trouver une autre façon de la lui partager. Était-ce pour cela que tu étais si proche de lui ces derniers temps ? Encore plus proche depuis que tu avais eut vent de cette histoire avec une serpentard réputée. La jolie Ella, comme la surnommait certains bruits de couloirs. Celle au cœur d'acier, qui avait réussit à faire chavirer le palpitant du Poufsouffle le plus téméraire, gentil et méritant que tu connaissais. Mélange de jalousie, d'affection et d'envie. Voilà ce qui te poussais à penser ainsi aujourd'hui. De la jalousie parce que tu ne ferais sans doute jamais tourner les têtes comme elle réussissait à le faire, elle ; parce que Ruben ne t'accorderais jamais autant d'attention. De l'affection, aussi, bien-sûr que tu en ressentais, peut-être un peu moins que ce que tu ressentais pour ton frère, mais en tout point similaire. Puis de l'envie, l'envie de connaître un jour une relation identique. Peut-être pas aussi difficile, aussi dure ni aussi toxique ; mais au moins aussi forte, authentique, belle.

Mon regard se perd un instant au dessus de son épaule, dans la contemplation du lointain magnifique qui s'offre à nous. Survoler Poudlard et ses environs, ou les pratiquer à pieds, n'ont strictement rien à voir. Il s'agit certes des mêmes paysages, mais vus sous des angles si différents que vous avez l'impression de les redécouvrir à nouveau pour la première fois. Ce regard tout frais qui vous est offert sur cet environnement idyllique, pourrait pousser n'importe qui se questionner sur sa place ici bas : ça nous rappelle à quel point nous ne sommes que de petites choses à l'échelle d'un écosystème, plus vaste. Somptueux. Nous sommes un peu ce que la goutte d'eau est à l'océan : infimes. Les doux rayons de cette fin d'après-midi ensoleillée dardent encore à l'horizon et parent les arbres et arbustes du parc de multiples nuances allant du vert au doré, sans qu'on en comprenne toute la complexité. C'est beau. Et je me sens admirablement bien, en tout point dans mon élément, ainsi juchée sur un balai, à des dizaines de mètres au-dessus du sol. Avec pour seule sécurité l'aisance de Ruben en vol et sa présence rassurante. « Tu voulais que je te surprenne ? agrippe toi bien.. » J'hausse un sourcil en étouffant un éclat de rire. Je suis partagée entre la surprise et la curiosité. Mes doigts glissent le long de ses flancs pour venir s'entremêler contre son ventre. Le regard qu'il me jette par-dessus son épaule ravive la couleur pivoine qui vient échauffer mes joues et brusquement l'avant du balai fait une embardée franche en direction du ciel. Ruben amorce une boucle parfaite, qui pourrait faire pâlir n'importe qu'elle montagne russe moldue. Cela me permet d'attraper visuellement de nouveaux détails du parc, que je n'avais jamais eut l'occasion de constater de mes propres yeux. Les quelques insectes nichés aux creux des branchages et que l'on ne discerne pas au premier regard, les reflets qui drapent le lac de millions de petits scintillements pareil à une myriade de pierres précieuses englouties dans ses profondeurs. Et j'aime ça. J'aime la vue, j'aime sentir mon estomac se nouer sous le looping engagé, j'aime la nostalgie qui me noie et les bribes d'images me revenant de mon enfance à la maison. Mon père, mon frère, et ma mère. L'éclat lumineux et joyeux au fond de ses yeux, sous son air courroucé lorsqu'elle nous regarde faire les idiots sur le balai. Des souvenirs que je pensais avoir oublié. Je suis contente de constater que non.
Malgré la probabilité tenace de nous faire pincer, quoique relativement faible à cette heure de la journée et dans ce coin reculé de Poudlard après un match de quidditch ; je ne peux retenir l'exclamation enjouée qui me gonfle la poitrine. Arrivée à hauteur de l'étendue turquoise et aqueuse, le batteur de notre équipe repart dans une pirouette admirablement bien réalisée, nous laissant têtes suspendues vers le sol tandis que son rire m'enveloppe de sa chaleur communicative. Le voir heureux comme ça me soutire un sourire satisfait. Mes mains se dénouent pour que je puisse resserrer l'étreinte de mes bras autour de son corps, comme si ce contact pouvait me permettre de lui voler un peu de sa positivité. Répondant aux lois de la gravité, mes mèches couleur blé s'en vont tournoyer à quelques centimètres de la surface du lac, bientôt rejointes par les doigts longs et fins que je sais appartiennent à Ruben. Le contact visuel par lequel il m'intime à faire de même ne m'échappe pas et mes traits se drapent d'une moue mi-sceptique mi-amusée avant que j'éclate dans un rire court mais franc. Un bras ceinturant toujours fermement son torse, je laisse glisser mes phalanges à travers la nappe scintillante du lac, savourant le contact humide et agréable, quoiqu'un peu froid, sous mes doigts. Mes doigts suivent le sillon laissé par les siens ; comme je le fais au quotidien en marchant dans ses pas. Puis Ruben nous ramène à l'entrée principale, par laquelle nous pourrons bientôt rejoindre les sous-sols du château. Je n'arrive pas à me départir de mon sourire niait, pendant que je le scrute essayer de remettre de l'ordre dans sa toison soyeuse, ce qui me fait rire de plus belle. « Arrêtes, tu te bats contre plus fort que toi, là. » Je pouffe en lui jetant un regard éloquent. Ma tignasse à moi, que je sens en aussi piteux état que la sienne, ne me dérange pas outre mesure. Elle reste le témoin de notre petite escapade clandestine, et je ne compte pas l'effacer tout de suite. « Alors, tu as aimé ? » Me demande t-il, son regard glissant vers les silhouettes des innombrables élèves qui s'avancent vers nous dans le lointain. « Et comment ! J'ai adoré ! Mais je suis désolée de t'apprendre que tu n'arrives pas à la cheville de mon frère... » Lui répondis-je, en laissant planer derrières moi le doute et tout en lui décochant un regard taquin. « Tu viens ? » Je me demande bien comment atteindre les sous-sols sans que nous nous fassions prendre, et surtout sachant que nous ne pouvons guère laisser le balai de Ruben derrière nous. Je ne lui demanderait jamais une chose pareille. Pas à un joueur. Et je n'aimerais pas que l'on me le fasse. Du regard j’ausculte le hall d'entré nouvellement désert lorsque la dernière cape sorcière tourne à l'angle d'un couloir. Je ne remarque aucune trace de Rusard ni de son horrible chat gris aux yeux aiguisés. C'est le moment ou jamais.
Faisant signe à Ruben de me suivre sans attirer l'attention, nous longeons les murs côte à côte et croisons quelques camarades, le regard déterminé tourné vers le fond du couloir. Bien vite, nous arrivons aux escaliers capricieux, que nous suivons jusqu'au niveau bas qui mène à la salle commune de notre maison. Je laisse à Ruben le temps d'aller déposer son précieux acolyte en bois, et l'attends patiemment devant la cheminée éteinte qui orne le plus long mur de la pièce à vivre. Tout dans cet espace me fait me sentir chez moi. De la couleur lambrissée des murs à la texture du canapé rendu rugueux par endroits à force d'une utilisation excessive. Mes doigts courent sur son cuir usé, y pianotent un air enfantin tandis que j'essaye de contrôler les battements de mon cœur qui tambourine dans ma poitrine, et le sentiment anxieux qui l'accompagne. Les minutes défilent et j'ai presque peur que Ruben ne se défile lui aussi et me plante là. Peut-être pour rejoindre une jolie serpentard sur un brusque coup de tête ? Mais il n'en est rien et sa chevelure soyeuse réapparaît dans l'escalier, accompagnée par la musique caractéristique de ses pas sur la pierre froide ; que j'ai appris à reconnaître au fil des années. Même pieds-nu sur le carrelage de ma maison, ses pieds réussissaient à jouer cet air facilement identifiable. Doux, mais rapide. Décidé. Je souris. Tournant les talons, j'ouvre la marche qui nous mène silencieusement vers les cuisines de Poudlard. A cette heure, nous devrions pouvoir être tranquille pendant au moins une demi-heure. Le temps suffisant pour se descendre au moins une bière ; quitte à en emporter d'autres dans un recoin abandonné de l'école.

Nous arrivons au lieu tant convoité, et je le laisse passer devant et pousser le lourd battant en bois qui sépare les cuisines du reste des sous-sols. Aussitôt, les douces effluves de terre, d'épices, de pain récemment cuit et de bouillons divers ;  nous enivre les sens. Me glisser dans les cuisines est une habitude récurrence que je conserve depuis mes premières années à Poudlard. Ça me rappelle l'odeur de la cuisine de ma mère, du temps où elle était encore là pour nous accueillir à chaque retour de l'école avec une bonne tourte au porridge et au potiron. Un truc qui peut paraître dégoûtant sur l'emballage, mais qui une fois passé entre les mains de ma mère en ressortait saupoudré de milles et unes nuances délicieuses. Me détournant de mes pensées quelque peu déprimantes, je remercie Ruben pour sa galanterie et me met tout de suite en quête du précieux nectar pour lequel j'ai fais tant de kilomètres. Je me donne un mal fou à retourner tous les placard à ma hauteur, trifouillant dans chaque sac ou réceptacle susceptible de contenir les bouteilles et finis, au détour d'une cave remplie de fruits et légumes, à trouver une cagette pleine de bièraubeurre. Je la ramène dans la pièce principale d'où les bruits des gestes de Ruben me reviennent, et dépose mon trésor sur la grande table, dans un fracas triomphant de bouteilles qui s'entrechoquent. Mes lèvres s'ourlent d'un sourire jovial. « Tu penses que si on finit les douze, ça passera inaperçu ? Pas de preuves, pas de voleurs. » Lui lançais-je, même si je doutais fort qu'il accepte. Aussi haussais-je les épaules nonchalamment. « Tu as pu nous trouver des verres ? » Lui demandais-je, lui tendant une bouteille pour qu'il me la décapsule. Je n'avais pas envie de m'essayer à un sortilège et de risquer de soit : 1) faire éclater en mille morceaux le précieux nectar, en nous blessant probablement au passage, soit 2) de me ridiculiser de la plus jolie des manières, ni même 3) foutre en l'air une occasion de le voir faire. J'y peut rien, c'est plus fort que moi. « S'il te plais. » Lui demandais-je sans plus d'explication, comme à mon habitude - qui agaçait si bien mon frère. Mais Ruben n'était pas mon frère, il fallait que j'arrête avec ça. Avec tout ça. Et avec la voix insidieuse qui me murmurais tout bas à quel point je n'étais pas indifférente aux charmes du jaune & noir.
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